Mention spéciale à

Mariusz Czerkawski, Colorado, qui dit avoir un plaisir fou à jouer avec Forsberg
Alexei Zhamnov, Chicago, qui aura dominé le début d'existence de cette ligue, lui qui avait 27 pts après 15 matchs. Il aura ralenti peu après, mais il est tout de même un des grands leaders de cette ligue
Scott Mellanby, St-Louis, meneur des Blues, époustouflant
Espen Knutsen, Columbus, 2e centre, 2e pointeur, bougie d'allumage
Todd Bertuzzi, Vancouver, le grand frère d'Henrik, 60 pts en 60 matchs, de Daniel, 44 pts en 57 et du défenseur Kimmo Timonen, 46 pts en 60 matchs
Ryan Smyth, Washington, qui a repris du poil de la bête depuis son échange
Jean-François Fortin, Washington, jeune défenseur ayant remplacé plusieurs défenseurs blessés lors de la saison, excellente adaptation
Paul Kariya, Anaheim, parce que
Vitaly Vishnevski, Anaheim, jeune premier défenseur de cette petite équipe lourde à porter, leader avec +11, un des 4 joueurs dans les +
Nikolai Khabibulin, Tampa Bay, qui porte une jeune et plutôt faible équipe sur ses épaules
Darcy Tucker, Toronto, 2e meilleur attaquant de puissance de la ligue
Scott Stevens, Pittsburgh, âgé de 21 ans depuis son arrivée chez les Pingouins, amasse points après points, jeux défensifs après jeux défensifs, placages après placages, discours dans la chambre après discours dans la chambre
Mike Dunham et Tomas Vokoun, Nashville, qui ont littérallement un caractère de cochon, eux qui ne veulent pas entendre parlé des buts contre leur camp
Mark Messier, New York Rangers, pour l'ensemble de son oeuvre
Scotty Bowman, Détroit, qui fait paraître ses vieux joueurs comme de jeunes vedettes
Martin Havlat, Ottawa, qui est finalement le meilleur attaquant de puissance, devançant son rival des Leafs, Tucker, par 9 placages, avec 120, par 156 minutes de pénalité en moins (il en a 2), par 1 point, il en a 61, par 12 buts, il en a 29, en 6 matchs de plus de joués, il en a joué 60
Jere Lehtinen, Dallas, leader dans l'ombre
Tomi Kallio, Atlanta, leader dans l'ombre
Jim Dowd, Minnesota, méconnaissable

Paul Kariya, Anaheim, parce que le groupit l'a dit

Au sujet de Stevens, je n'aurais pu mieux dire: arrivé à Pittsburgh avec une fiche de -1 et d'un maigre 6 points, il a maintenant un différentiel de +3 et 30 points.

À son arrivée, ses 6 points parraissaient bien mince face aux 19 de Rozscival. Maintenant, les 30 points de Stevens font plutôt mal paraitre les 27 de Rozscival !


Et à Détroit, Bowman ayant déjà annoncé en début de saison que la présente saison était sa dernière, tous les joueurs, et surtout les vétérans (qui sont d'ailleurs majoritaires dans la chambre!) donnent leur 110% afin de faire de cette saison une belle épopée que Bowman pourra se rémémorer dans ses vieux jours (qui ont déjà commencé!). En misant sur des joueurs d'expérience tels que Hull, Robitaille, Lidstrom, Chelios, Federov et Larionov, Bowman mani à merveille ses effectifs afin de les mener jusqu'au bout !